Mon cher lecteur,
De 1 % de récession nous sommes passés à 6 et de 45 milliards de plan de sauvetage à 100… Et 500 au niveau européen, contre 6 000 milliards aux États-Unis. Nous sommes toujours aussi loin du compte et l’incompétence de Bercy crève les plafonds plus vite que le virus ne se propage.
L’économie arrêtée, il faut bien continuer à payer des salaires, du chômage, de quoi permettre à chacun de passer le cœur de la crise, maintenir les capacités de production, les usines, les bureaux et éviter que des entreprises saines ne fassent faillite pour de mauvaises raisons, entraînant notre société tout entière, non plus dans la crise, mais la misère.
Je vous disais depuis le début que nous sous-estimions gravement le coût du confinement, coût financier, économique, social et humain… Car le confinement va faire plus de morts que le virus, mais nous ne pourrons pas nous l’avouer car nous ne les compterons jamais : la misère, la solitude, l’enfermement tuent tout aussi sûrement.
Nous commençons à peine à nous rendre compte de la détresse de tous ceux pour qui les cantines scolaires et professionnelles constituaient le seul repas chaud de la journée, de la misère galopante des mères célibataires abandonnées par notre société qui a allègrement détruit les fondations de la famille sans se rendre compte qu’un contrat de mariage avait plus à voir avec la subsistance qu’avec une morale réactionnaire.
Les quelques centaines de milliards de trou que nous allons nous efforcer de combler avec 4 trains de retard ne seront jamais que la partie émergée de l’iceberg.
Il y a quelques jours à peine, nous ne pouvions imaginer se reformer les breadlines de la crise de 1929, ces queues infinies aux guichets des soupes populaires, immédiatement réapparues dans l’Amérique détraquée du virus où l’on n’a pas de pain mais une voiture :
Et pourtant, elles reviennent car les mêmes causes produisent invariablement les mêmes effets.
En 1929 comme en 2020, nous n’avons jamais manqué de pain, nous n’avons simplement pas su le distribuer.
Alors comment distribuer le pain en 2020 ? Et plus généralement comment répartir les richesses ?
À qui allons-nous prendre ?
Et pour donner à qui ?
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
J’ai écrit un article complet sur Qui pour payer ?
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À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle