Chers amis,
Nous avons à peine eu le temps d’épingler Bruno Le Maire, notre ministre de l’Économie et des Finances percées, parce qu’il a sauvé les actionnaires milliardaires de FNAC Darty et déjà il remet le couvert avec Air France.
Il jette nos richesses par les fenêtres et ce n’est pas sérieux.
C’est criminel.
C’est de la traîtrise.
J’ai besoin de vous d’urgence pour interpeller Bruno Le Maire et partager cet appel à tous vos contacts.
Il a jeté 350 millions d’euros aux actionnaires milliardaires de FNAC Darty et maintenant il engage 7 milliards d’euros pour sauver Air France, encore une fois de manière désastreuse.
Tout d’abord, avec ces 7 milliards, l’État français pouvait racheter Air France à sa valeur d’avant crise, et même 2 fois aujourd’hui. C’est vous dire si les sommes engagées sont gigantesques au regard de la valeur, de la richesse, que représente une société comme Air France.
Mais surtout, la part de l’État français dans Air France n’est que de 14,3 %.
Lorsque la compagnie fait des bénéfices et verse un dividende, la part de l’État français est de 14,3 %.
En revanche, maintenant qu’il faut mettre la main au portefeuille, l’État débourse 7 milliards… Et les autres ?
L’État néerlandais, co-actionnaire à hauteur de 14 %, c’est-à-dire autant que l’État français, va lui engager entre 2 et 4 milliards d’euros…
Mais dans un groupe sain, les actionnaires partagent les fortunes de leur entreprise, bonnes ou mauvaises, d’autant que les Pays Bas sont pourtant bien moins endettés que nous.
Nous nous retrouvons à nouveau dans une situation : pile ils gagnent, face nous perdons.
Au moins les Pays Bas vont-ils mettre la main à la poche.
Mais il y a parmi les actionnaires d’Air France, la compagnie américaine Delta Airlines (dont le 1er actionnaire est Warren Buffett… Encore un milliardaire et même super milliardaire) et la chinoise Eastern China Airlines, chacune à hauteur de 8,8 %. Ensembles, elles pèsent plus que l’État français. Et combien engagent-elles ?
Zéro, bien sûr.
Évidemment, ces actionnaires n’ont peut-être pas les moyens ou l’envie de recapitaliser Air France.
Qu’à cela ne tienne, qu’ils se retirent. Mais ce n’est pas à nous de sauver leur entreprise. Il n’y a AUCUNE raison qu’ils touchent des dividendes quand tout va bien mais ne paient rien quand tout va mal.
C’est à nouveau la privatisation des gains et la mutualisation des bénéfices.
Hier FNAC-Darty, aujourd’hui Air France et demain ?
Combien de milliards et centaines de milliards allons-nous jeter par les fenêtres au moment même où nous en avons le plus besoin, au moment où se décide le sort de notre pays, sa grandeur ou sa ruine ?
Nous ne pouvons laisser faire Monsieur Le Maire.
Ce qui se passe est trop grave.
Nous ne pouvons pas le laisser faire cette folie.
À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle
PS : et pendant que nous renflouons à fonds perdu une entreprise gravement défaillante depuis de nombreuses années, Delta Airlines vend une partie de sa flotte pour dégager des liquidités et China Eastern convertit ses avions de passager en cargo, dont l’activité s’est mieux maintenue… Eux s’adaptent pendant que nous nous enlisons. Ce n’est ni le plus fort, ni le plus riche qui survit, mais celui qui s’adapte. SIGNEZ et TRANSFÉREZ l’appel.
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
J’ai écrit un article complet sur Vite, il recommence déjà ! Il jette encore notre richesse par les fenêtres…
Cet article est le premier que vos recevrez, IMMÉDIATEMENT en vous inscrivant à L’investisseur sans Costume. Ce service est entièrement GRATUIT, il vous suffit d’inscrire votre adresse email ci-dessous et de cliquer sur Je m’inscris (cela marche aussi si vous êtes déjà inscrit mais souhaitez recevoir l’article) :
Je vous garantis la confidentialité complète de vos données personnelles. Elles ne seront jamais ni échangées avec des organismes tiers ni commercialisées à votre insu.
L’Investisseur sans costume est un service proposé par Pando Éditions, maison d’édition indépendante spécialisée dans l’économie et la finance, que je dirige.
À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle