Scandale du vaccin : Pfizer a recruté l’ex-patron de l’agence du médicament américaine en 2019

13 11 2020
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Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
 
Nous nous enfonçons un peu plus dans les eaux glauques du scandale du vaccin Covid.
 
Après le vaccin qui soigne les Bourse et fait des bulles et le patron qui vend ses actions pendant que l’Europe achète les doses, voici le 3e volet de notre série qu’il nous faut commencer en revenant à la vente des actions d’Albert Bourla et compagnie.
 
Nous sommes en train de nous rendre compte qu’Albert Bourla, le patron de Pfizer, N’a PAS vendu ses actions après l’annonce mirifiquede son vaccin « miracle », il a fait l’inverse, il a prévu son annonce le jour où il pouvait vendre ses actions et celle de ses grands actionnaires selon le plan de courtage 10b5-1 et fait passer l’argent avant la santé et l’intérêt général.
 
Car dans cette affaire les 5 millions de dollars du bon docteur Bourla ne sont que la face émergée de l’iceberg. En tant que PDG, il est obligé de déclarer au gendarme boursier américain ses mouvements sur le titre de l’entreprise qu’il dirige… Les actionnaires, en revanche, ne sont pas soumis à cette déclaration jusqu’à 10% (et aucun actionnaire ne détient 10% du géant pharmaceutique qu’est Pfizer).
 
Nous savons seulement que Pfizer a défendu son patron en déclarant que la vente des actions faisait partie d’un plan beaucoup plus large offert semble-t-il aux grands actionnaires de Pfizer.
 
Il ne faut pas laisser passer ça. Partagez, partagez encore et faites suivre.
 
Ce plan a été défini le 19 août dernier, juste avant la fin de la phase 1 de l’essai clinique sur le vaccin… Et un esprit chagrin pourrait penser qu’il a été spécifiquement défini pour cette annonce qu’ils avaient semblent-ils prévue indépendamment des résultats réels de leur essai.
 
Les plan 10b5-1 sont censés permettre aux dirigeants des grands groupes d’acheter ou vendre des actions de leur groupe automatiquement et selon un plan défini à l’avance pour éviter tout délit d’initié.
 
Mais c’est de la poudre aux yeux et ces plans 10b5-1 sont très critiqués outre-atlantique : ce n’est pas la première fois que des mouvements plus que louches sont planqués derrière « le plan automatique ».
 
Dans le détail, ce plan permet d’acheter ou de vendre des actions de manière automatique :

 
 

  • À des dates prévues à l’avance (généralement une fois par mois, par exemple le 2e lundi de chaque mois) ;
  • Pour des montants prévus à l’avance, éventuellement selon une formule. Par exemmple, plus le cour est haut et plus je vend d’actions ;
  • Ces opérations peuvent être conditionnées à une formule. Par exemple, il n’y a vente que si le cour a atteint un seuil particulier.
 
La SEC recommande fortement de publier les détails de ces plans pour éviter tout soupçon de délit d’initié mais bien évidemment, Pfizer NE l’a PAS fait.
 
Nous pouvons tout de même être certains que si le bon docteur Bourla avait fait son annonce mardi plutôt que lundi, aucune vente n’aurait eu lieue.
 
C’est ce qui me fait dire qu’il n’a pas fait son annonce au meilleur moment pour la science et notre santé mais au meilleur moment pour son portefeuille et celui de ses employeurs.
 
Au temps pour la plus grande avancée médicale des cent dernières années et le grand jour pour l’humanité professé avec un cynisme dingue par Albert Bourla.
 
Car leur vaccin n’est absolument pas prêt ! Ils espèrent finir leur phase 3 au plus tôt fin novembre dans des conditions déjà ultra dégradées.
 
Et cela n’a pas empêché Pfizer de promettre des livraisons massives de vaccin avant la fin de l’année alors qu’ils auront à peine un mois pour obtenir l’accord de mise sur le marché de la FDA américaine et de l’EMA européenne, lancer la production de en masse, organiser toute la chaîne de distribution de vaccin délicat qui ne supporte pas les température au-dessus de -70°… C’est du DÉLIRE.
 
Sauf à ce qu’ils aient déjà tout préparés, tout engagé, à l’avance certains d’obtenir leur autorisation.
 
Et c’est là qu’entre en jeu Scott Gottlieb, l’ex-patron de la FDA, l’agence du médicament américaine. Gottlieb a immédiatement rejoint Pfizer à la fin de son mandat de régulateur en 2019 : il saura faire approuver le vaccin.
 
Imaginez, l’influence que ce patron peut avoir gardée à la FDA auprès de cadres qu’il a recrutés, promus, dirigés pendant des années et jusqu’à 2019 !
 
Cela semble d’ailleurs être la stratégie de Monsieur Bourla qui fait des flammes depuis sa nomination, au 1er janvier 2019.
 
Dès sa première année, il a réussi à faire approuver un record de 10 médicaments auprès de la FDA.
 
La presse docile dit qu’il a mis le paquet sur la recherche… Moi je dis qu’il a mis le paquet sur Scott Gottlieb.
 
Nous ne sommes pas en face d’un patron qui réagirait de manière maladroite à une situation inédite mais à un prédateur ultra-agressif qui n’en est pas à son coup d’essai.
 
Et en France, que faisons-nous ? Nous nous couchons docilement. Nous avons déjà commandé 50 super-congélateurs pour pouvoir recevoir le vaccin dès la fin de l’année.
 
Et lorsque nous aurons reçu des centaines de millions de doses de vaccin, il faudra bien l’inoculer de gré ou de force.
 
Face à ce scandale, nous ne sommes pas dupes et la colère monte. Le sujet promet d’être explosif politiquement.
 
Au États-Unis, les discussions s’orientent vers une privatisation du débat pour mieux l’escamoter. Sans doute en sera-t-il de même en France.
 
Il est probable qu’ils s’appuieront sur les entreprises et la sphère privée pour faire la promotion de leurs campagne de vaccination ainsi que des techniques de contrainte sociales importées de Chine pour forcer la vaccination sans jamais la rendre obligatoire.
 
Après tout, les enfants doivent bien se faire vacciner pour avoir le droit d’aller en crêche et à l’école… Demain, il semblerait que cette idée brillante puisse s’appliquer à l’entreprise et pourquoi pas aux restaurants, voyages, matchs de foot ou sorties au cinéma.
 
Pour la plus grande fortune d’Albert Bourla et de ses grands actionnaires.
 
Il ne faut pas laisser passer ça. Partagez, partagez encore et faites suivre.
 
À bon ententeur,
 
Guy de La Fortelle


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