Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
Ainsi est parti Emmanuel Faber, emblématique patron de Danone, paix à son âme de patron engagé.
Avec lui disparaît du CAC40 cette curieuse espèce des patrons engagés, entre pléonasme et oxymore.
Hier, l’espace d’un instant, s’est levé le voile de la réalité du Grand Reset et du capitalisme inclusif à la Davos : Et ce n’est pas beau à voir.
Faites suivre cette lettre et la vidéo qui l’accompagne à votre carnet d’adresses, partagez-les sur vos réseaux, republiez-les : Nous sommes bien placés pour savoir que nous devons de plus en plus compter sur nous-mêmes pour faire un peu de lumière dans ce monde d’ombres et de faux-semblants qui se révèle d’autant plus hostile qu’il se prétend protecteur.
Ces pauvres actionnaires laissés pour compte
Emmanuel Faber est donc parti sous la pression de deux fonds activistes : Bluebell Capital, qui gère la fortune des héritiers du groupe de luxe Bulgari et Artisan Partners, fonds d’investissement détenu pour moitié par ses partenaires et pour moitié par les grands gestionnaires d’actifs américains, BlackRock, Vanguard et consorts, leur bras armé d’une certaine manière, c’est important pour la suite.
Il n’y a là que des gens qui ont l’intérêt général et l’intérêt de la France chevillé au corps… Des autres.
Emmanuel Faber est parti selon ces 2 fonds parce qu’il « n’a pas géré au mieux le bon équilibre entre le retour de valeur pour les actionnaires et le développement durable » et que « les performances financières de Danone ne correspondent pas à la qualité de ses actifs. »
Mais fort heureusement, depuis hier, « Nous avons bon espoir que, sous la supervision de Monsieur Schnepp, une trajectoire de croissance profitable puisse être retrouvée chez Danone, tout en conservant la durabilité comme priorité ».
Oh, les pauvres chouchous ! À force de parler de justice sociale, d’environnement et de climat, on en avait oublié les grands actionnaires, ces pauvres laissés pour compte de la période qui ont pourtant tant fait depuis le début de cette crise… Pour accroître leur fortune à nos dépens.
Entendez bien mon cher lecteur, tous ces gens se sont résolument engagés à sauver le monde, mais seulement après s’être occupés de leurs intérêts propres qui ne peuvent bien sûr être bien différents de l’intérêt de la planète. Vous, je ne dis pas, mais la planète passe avant, vous en conviendrez et de toute manière, la planète : C’est eux. Ce n’est qu’une bête question de priorité.
Et ils ont raison, mon cher lecteur.
Je vais vous révéler un très très gros secret : nous vivons dans un système capitaliste.
Et dans un système capitaliste, le patron… C’est celui qui détient le capital.
Celui qui compte, c’est le patron du patron
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
J’ai écrit un article complet sur Grand Reset chez Danone : L’arnaque du capitalisme inclusif
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À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle