Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
Il est une règle d’or dans un supermarché : Les rayonnages ne doivent JAMAIS être vides.
Et pourtant, tous les efforts de nos techno-épiciers pour remplir leurs linéaires sont la certitude de leur épuisement prochain au grand dam de ces sysiphes en plastique recyclé. C’est ce que nous allons voir aujourd’hui.
Comme d’habitude, permettez-moi de solliciter votre aide pour diffuser mon travail :
- Transférez cette lettre à votre carnet d’adresses ;
- Partagez-là sur les réseaux sociaux ;
- Republiez-là, critiquez-là…
Ce ne sont certainement pas les médias grand public qui s’en chargeront à votre place. Il ne faudrait tout de même pas que l’on se rende compte du braquage en cours.
Un linéaire vide, c’est un magasin mal achalandé et mal géré qui donne l’impression aux clients d’être privés de choix quand bien même il y aurait tous les produits habituels.
Il faut toujours y mettre des trucs, n’importe quoi, tout sauf le vide. Et n’importe quoi nous y sommes : L’abondance de nos rayonnages aujourd’hui est la promesse de leur épuisement demain.
Cette règle est le miroir d’une autre règle d’airain de la politique contemporaine : Les porte-monnaie des électeurs ne doivent jamais être vides, il faut les remplir avec n’importe quoi, y compris de la fausse monnaie. Nous y sommes aussi.
L’illusion de notre richesse aujourd’hui est la certitude de notre appauvrissement.
Je prétends mon cher lecteur que nos supermarchés se sont remplis de faux produits à mesure que nos porte-monnaie se sont remplis de fausse monnaie. Les deux se dégradant ensemble évitant ainsi de nous révéler trop vite notre déchéance.
Le retour des ersatz au supermarché
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
J’ai écrit un article complet sur ❗Ersatz macht frei❗
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À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle