Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
Ces derniers jours, le dollar a été plus secoué qu’une salade qu’on essore.
Imaginez la scène : Trump annonce des tarifs douaniers de 25% pour le Canada et le Mexique : Le dollar monte plus vite qu’un soufflé au fromage.
Reuters nous dit que ce ne sera finalement que pour le 1er mars, et le soufflé retombe ! Le billet vert dégringole.
Mais attendez, ce n’est pas fini ! La Maison Blanche contre-attaque : « Non, non, c’est pour demain, samedi 1er février. » Et hop ! Le dollar remonte en une chandelle mémorable.
Bienvenue dans le monde merveilleux du « Trump-trading », mes amis ! Si vous n’étiez pas là pour le premier tour de piste, accrochez-vous à vos calculettes, ça va secouer : Le trading de devises à l’ère Trump est un véritable rodéo financier qui ferait passer les montagnes russes pour un tour de manège pour enfants.
Quelques règles d’or pour survivre dans cette jungle financière :
- Ayez des convictions en béton armé si vous osez garder des positions qui peuvent être chamboulées par ces annonces à la va-vite.
- Le rapport signal/bruit est plus brutal qu’un match de rugby entre la France et les All Blacks.
- Les sources comme Reuters, Bloomberg ou le Wall Street Journal sont bonnes. Elles ne sortent pas les informations de leur chapeau. Mais l’administration Trump, elle, a plus de factions rivales qu’un épisode de Game of Thrones.
Mais, que faire dans ce maelström d’informations contradictoires ? Comment naviguer dans ces eaux troubles où chaque tweet présidentiel peut déclencher un tsunami financier ?
Face à cette stratégie présidentielle du chaos, il devient particulièrement spéculatif de se positionner à court terme.
La question, en revanche, est passionnante à moyen et long terme car ce déséquilibre ouvre des opportunités pour les investisseurs affutés, capables de traduire les positions politiques en positions financières gagnantes.
Depuis 2008, l’Euro est pris dans une spirale descendante face au Dollar. Avec une régularité de métronome, il baisse, remonte un peu et baisse davantage en restant bien sagement dans un couloir descendant.
Mais désormais la situation est plus confuse, car la position américaine l’est :
Trump a besoin d’un Dollar fort pour limiter l’inflation qui est le grand risque de l’époque réapparu avec le COVID. Un Dollar fort signifie en effet un pétrole faible et l’on sait à quel point Trump a besoin d’un pétrole à bas prix. Nous nous rendons difficilement compte en Europe de l’importance du prix du litre d’essence pour une famille américaine qui possèdent de nombreuses voitures, bien plus imposantes qu’en Europe et qu’ils utilisent en permanence.
D’un autre côté, pour réindustrialiser et attirer les sociétés étrangères et leurs usines sur le territoire américain, Trump a besoin d’un Dollar faible : Les droits de douane ne suffisent pas s’ils sont effacés par la force du Dollar… Ou plutôt la faiblesse d’un Peso espagnol, d’un Yuan chinois ou d’un Dollar canadien.
Trump aimerait résoudre ce paradoxe en pompant tout le pétrole possible et en engageant — par tout moyen — ses alliés et l’OPEP à faire de même. Mais cela tombe mal, nous sommes en train de toucher le pic de Hubbert des gaz de schistes américains : Il ne suffit pas de faire plus de trous dans le sol pour qu’il en sorte plus de pétrole.
La dernière fois que les États-Unis ont touché un pic de Hubert, le pic pétrolier de leur production conventionnelle, c’était en 1970-1971 et s’en est suivi un choc pétrolier bien connu. Cela ne signifie pas qu’un choc pétrolier se trouve devant nous mais il serait irresponsable d’ignorer le risque.
C’est là que nous entrons en scène, cher lecteur. Pendant que Trump tweete à tort et à travers, nous revenons la tête froide et l’analyse affûtée, mon collègue Luc pour l’analyse technique et moi-même pour l’analyse fondamentale. Nous avons d’ailleurs écrit cette lettre à 4 mains. Nous décryptons pour vous ce charabia présidentiel, nous séparons le bon grain de l’ivraie informationnellepour déterminer de quel côté la pièce d’un Dollar retombera : Fort ou faible.
Savoir où regarder et prendre patience est d’autant plus essentiel que de notre côté de l’Atlantique, notre Euro est toujours aussi mal en point, tant et si bien que l’idée des Quantitative Easing des années 2010 refait surface pour regonfler un système financier façon baudruche crevée.
Vous voulez savoir quand acheter des dollars ? Quand les vendre ? Sans perdre le sommeil ni la santé ? Nous allons vous guider ces prochain mois dans ce labyrinthe financier digne du Minotaure.
Alors, chers amis, si vous en avez assez de jouer à la roulette russe financière à chaque fois que Trump ouvre la bouche, si vous voulez des analyses sérieuses plutôt que des élucubrations présidentielles, il n’y a qu’une chose à faire si elle ne l’est pas déjà : inscrivez-vous !
Avec l’Investisseur sans costume, vous aurez une longueur d’avance sur les soubresauts du marché. Nous ne vous promettons pas la lune, mais nous vous garantissons des analyses solides, des conseils avisés, et surtout, pas de fake news !
À votre bonne fortune et à bientôt,
Guy de La Fortelle
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
J’ai écrit un article complet sur Dollar fort, dollar faible : Ce qui emportera la décision c’est…
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À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle