Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
La prédiction de 2016 de Kenneth Rogoff est en train d’arriver
En 2016, l’économiste du FMI et professeur à Harvard Kenneth Rogoff publiait « La Malédiction du cash ».
Dans cet ouvrage, Rogoff plaide pour la fin de l’argent liquide.
Son argument est simple : à chaque crise les banques centrales doivent baisser les taux d’intérêt.
Or les taux sont DÉJÀ à zéro.
Lors de la prochaine crise (aujourd’hui donc), il faudra faire baisser les taux en territoire profondément négatif.
Depuis la parution de l’ouvrage, Rogoff oscille entre des taux à -4 et -6 %.
À -6%, cela signifie que pour 10 000 euros, vous perdez 600€ de « rendement négatif ». Au bout de 10 ans, il ne vous reste plus que la moitié de votre capital.
C’est CATASTROPHIQUE.
Si vous me suivez depuis longtemps, vous savez que je regarde régulièrement le travaux de Rogoff.
Mais bien sûr, les espèces ne perdent pas leur valeur faciale, alors pour éviter que nous nous jetions sur le cash, il faut, si ce n’est l’interdire, le réprimer fortement.
L’idée de Rogoff de taxer nos épargnes est aussi développée depuis des années par le FMI, la Banque des Réglements Internationaux ou le Boston Consulting Group.
C’est d’ailleurs ce qu’implique Christine Lagarde, à la tête de la BCE lorsqu’elle affirme :
« On sera plus contents d’avoir un emploi que d’avoir une épargne protégée ».
Et si nous devions en payer 1 000 de plus, cela serait-il mieux ? Non bien sûr puisque tout cet argent ne sert pas à créer des emplois mais à réduire ce que les banques nous doivent… Car le compte n’y est pas.
Les taux profondément négatifs avant l’effondrement
Je pense que vous avez compris mon cher lecteur. Ce n’est pas l’effondrement des banques qui nous pend au nez mais la taxe ultime, cynique et inique des taux négatifs.
C’est à cela qu’il faut d’abord nous préparer.
Mais le pire est que le sacrifice de notre épargne ne va pour autant pas sauver les banques ni faire repartir l’économie… Ce n’est pas un mal pour un bien, c’est un mal pour un pis.
Et cela aussi, ils le savent très bien.
Derrière les bilans des banques et des assureurs, le compte N’y est PAS et cela commence à se voir comme je vous le montre dans la grande enquête sur l’argent en France que je viens de finir.
Cette enquête est importante mon cher lecteur, transférez-là à votre carnet d’adresses, partagez-là sur les réseaux sociaux, republiez-là.
Ce que vous découvrirez dans cette enquête ne passe pas à la télé ni dans les journaux :
- Pourquoi la garantie des fonds euros est devenue intenable et la solution pour vous faire payer et retarder l’effondrement ;
- Le gros problème de rentabilité des banques dont elles ne parlent jamais (mais les Allemands, oui) ;
- Plus personne ne veut investir dans une banque… Sauf vous (à votre insu) ;
- Le Scénario 5 de la BCE qui prévoit une « panne » des banques ;
- Les rendements comparés des investissements AVEC et SANS les banques ;
- L’histoire du vieille chypriote que les banquiers traitaient de folle mais échappa à la crise en 2013 par un moyen aussi simple qu’étonnant;
- Qui va payer la véritable facture de la crise et comment ;
- Les 10 000 premières assurances vie bloquées par la loi Sapin 2 et ce que cela dit de la suite ;
- Pourquoi votre argent à la banque NE vous appartient PAS ;
- Le scandale de la garantie des dépôts dévoilé ;
- Pourquoi les banques européennes sont dans une situation pire qu’en 2008 ;
- Le spectre des taux profondément négatifs et la taxe ultime sur votre épargne pour rien ;
- Le cabinet de conseil allemand qui avait tout prévu dès 2018 et…
- Le rapport français qui avait tout prévu il y a plus de 40 ans ;
- Ce ne sont pas les banques centrales qui sauvent l’économie mais nous qui sauvons les banques…
- Et plus nous sauvons les banques plus nous détruisons l’économie : nous vous expliquons le mécanisme ;
- Le conseil d’un ingénieur aérospatial pour gérer votre argent ;
- Comment investir dans l’économie réelle sans les banques ;
- Comment assurer votre épargne contre l’effondrement ;
- Trouver l’alternative au fonds euros d’assurance vie…
Cette enquête dresse le constat clinique et glaçant des exactions de nos banquiers, celles qu’ils prévoient encore, mais également l’
alternative qui s’offre à vous et à laquelle je travaille depuis de longues années.
Elle le fruit de plusieurs années de travail acharné et vous pouvez la recevoir GRATUITEMENT aujourd’hui.
À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle