Mon cher lecteur,
Je me suis forgé avec le temps une maxime d’investisseur qui revient régulièrement dans mes lettres :
Le meilleur moyen de ne pas perdre est encore de ne pas jouer.
C’est ma conviction car cette partie est truquée par les banques et des règlementations absurdes : nous vivons des temps de copinage où ce ne sont plus les meilleurs et les plus utiles qui sont récompensés mais les mieux placés, les plus proches des robinets de l’Argent. Le courtisan remplace le bâtisseur, le faiseur dirions-nous aujourd’hui.
Ce jeu nous pourrions l’appeler « Le grand lessivage ou comment répartir arbitrairement les fruits du labeur ».
Nous sommes tous, ou presque, assis à cette table de jeu : salaires, retraites, épargne, assurance vie, immobilier, comptes courant…
Le simple fait d’avoir un compte courant vous fait rentrer dans la partie. Pour ne pas jouer, il faut activement vous retirer de la partie : il ne suffit pas de ne rien faire.
Dans cette époque sens dessus dessous, cette maxime très négative — pour NE PAS perdre, NE PAS jouer — semble bien défaitiste mais recèle pourtant de trésors à saisir.
C’est comme si vous quittiez la table de jeu pour aller au buffet alors que les autres joueurs sont encore possédés par le démon du jeu.
Il existe bien des façons de ne pas jouer, de s’extraire de cette machine qui rend fou et de revenir aux vraies nourritures :
- L’or est l’assurance ultime, plus les choses vont mal et plus sa valeur vous protège ;
- Les cryptomonnaies sont également une innovation passionnante, quoiqu’ambivalente, qui mérite votre attention ;
- Moins connu, les obligations souveraines et de grandes entreprises sont également un refuge mais surtout pas dans une assurance vie ! Françaises, allemandes et surtout américaines : Peu de gens savent que les taux négatifs peuvent donner des rendements très positifs ;
- L’immobilier locatif et l’obligataire bancaire précautionneusement choisis sont d’excellents supports de rendement qui exploitent l’absurdité du système ;
- Il existe également quantité de manières d’investir dans le réel et l’utile en dehors des circuits bancaires et financiers, que ce soit des PME près de chez vous ou des produits utiles ;
- Et surtout, l’argent n’est pas tout, loin s’en faut, même dans une chronique financière : s’inviter boire un verre, s’échanger de menus services, un sac de cerises au printemps contre un panier de champignons à l’automne, ou la garde d’un enfant contre des travaux de bricolage… Ce ne sont pas des investissements, c’est le juste quotidien d’une vie douce et saine.
Certains de ces supports sont apatrides, d’autres peuvent se loger ailleurs qu’en France : être mobile, pour votre patrimoine ou vous-même, est aussi une sécurité.
Bien évidemment selon votre situation et votre caractère, vous n’allez pas appliquer cette maxime de la même manière.
Mois après mois, dans ma lettre d’investissement Risque & Profit, je vous donne les solutions concrètes et les moyens de les saisir par vous-même ou avec l’aide de votre banquier (s’il n’est pas trop revêche).
Je suis en train de terminer le prochain numéro de Risque & Profit sur la meilleure alternative au fonds euro d’une assurance vie.
C’est un numéro fondamental dans lequel vous découvrirez l’alternative qui augmente vos potentiels de gain et diminue vos risques mécaniquement (il ne s’agit pas d’un nouveau type investissement simplement d’une manière plus efficace d’investir que des fonds euros devenus obsolètes et même dangereux).
Si vous ne devez choisir qu’un seul de tous mes conseils, à tout âge, c’est cela.
En tant qu’abonné à Risque & Profit vous recevrez ce nouveau numéro dans le courant de la semaine prochaine. Si vous avez un un fonds euros d’assurance vie, vous pouvez déjà revoir votre contrat, comment il est constitué ainsi que sa performance.
À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle