La vérité s’efface devant le conformisme

26 03 2020
Partager l'article

Mon cher lecteur,
 

Derrière le masque de l’unité se cache l’hideuse figure du conformisme.

 
Je vous disais lundi qu’à mon avis le confinement n’allait pas durer si longtemps que l’on croit, allant jusqu’à estimer à 2 semaines environ la durée restante.
 
J’écrivais aussi que la chloroquine avait DÉJÀ fait preuve de son efficacité et qu’il s’agissait maintenant d’en découvrir l’étendue ainsi que les bonnes posologies.
 
En faut-il de l’orgueil, n’est-ce pas ?
 
Vous avez été nombreux à me le reprocher. Peut-être, mais là n’est pas l’important.
 
Mardi, le Conseil Scientifique a recommandé au moins 6 semaines de confinement et strictement encadré l’usage de la chloroquine… Alors l’avis de La Fortelle, que peut-il bien valoir ?
 
Et puis pourquoi nous parle-t-il seulement de cela dans une chronique financière ?
 
Je n’écris pas pour vous divertir
Il se trouve mon cher lecteur que je n’écris pas pour vous divertir mais pour vous aider à gérer votre épargne, à prendre des décisions.
 
Je ne vous parle pas de confinement et de traitement pour le plaisir d’étaler ma pseudoscience comme une cuillère de confiture sur une tartine trop grande.
 
Ce sont 2 questions fondamentales pour votre épargne et vos investissements.
 
Comment croyez-vous que les rayons de vos supermarchés se remplissent ?
 
Comment les salaires tombent-ils ? Et les poubelles, et l’eau courante, et l’électricité, et la sécurité… Comment les entreprises produisent-elles des richesses et gagnent-elles de l’argent en temps de confinement ?
 
Ils n’avaient pas évalué le coût du confinement
Économiquement, le confinement est la clé. Si le confinement dure, vous pouvez être très pessimiste.
 
L’INSEE vient de publier des premiers chiffres très inquiétants. Le confinement et une économie en panne font aussi des morts.
 
Et la clé pour sortir du confinement, c’est la massification des diagnostics et un traitement.
 
Je vous rappelle que le seul intérêt du confinement est de ralentir la propagation afin de soulager les hôpitaux et gagner du temps pour trouver un traitement. Mais autant de gens sont touchés à la fin.
 
Plus le confinement est efficace et plus vous vous exposez à de nouvelles vagues…
À l’automne ou au printemps prochain.
 
Sans traitement, vous vous exposez à des vagues répétées, à de nouveaux confinements et une volatilité maximale sur les marchés pendant un ou deux ans à cause du virus.
 
À l’inverse, la situation peut se rétablir rapidement avec la bonne organisation et le bon traitement.
 
Il y a justement un Conseil Scientifique et des structures ad hoc pour répondre à ces questions.
 
Ils sacrifient la vérité à la conformité
Le conseil dit 6 semaines de confinement, je dis 3.
 
Et je prétends que le Conseil a tort et vu comme il vient de se faire placardiser et remplacer par un nouveau conseil, je ne suis pas le seul (au passage, c’est soviétique comme gestion).
 
Et je n’ai pas besoin d’avoir 20 ans d’expérience en épidémiologie pour trouver le conseil à tort.
 
Il suffit de savoir que ce genre de conseils ne cherchent pas la vérité mais la conformité.
 
Nous savons aujourd’hui que les pays qui ont réussi à juguler le plus efficacement le virus sont ceux qui ont massivement testé, ponctuellement confiné et immédiatement traité : la Corée du Sud, l’Allemagne, l’Islande et même la Chine s’est adaptée après ses premières erreurs… Les exemples se multiplient et les données s’accumulent.
 
La Chine et la Corée, premiers pays touchés recommandent officiellement l’utilisation de la chloroquine.
 
Le cas de l’Italie
Les médias nous ont tous mis la tête en Italie en nous prédisant une apocalypse sans voir tous les pays où malgré la présence du virus, il ne se passait… Rien. Il y a eu un drame affreux en Lombardie mais nous commençons à comprendre que ce drame est particulier.
 
Il nous faudra faire la lumière sur la conjonction de facteurs qui a généré cette catastrophe en Italie du Nord (mais pas du Sud, ni ailleurs)… Ne vous inquiétez pas, cela ne se produira jamais, jamais de manière honnête et complète.
 
Nous nous sommes trompés et sans doute le spectre italien y est pour quelque chose : nous avons réagi trop tard et mal.
 
Titanic administratif
Plutôt que de corriger le tir en urgence, il se trouve que nos instances passent sous silence cette grave erreur, font des pirouettes verbales et virent de bord à la vitesse du Titanic.
 
Elles ont une très bonne raison pour cela : ce n’est pas le moment de faire de l’autocritique et de perdre sa légitimité, donc son autorité et donc son efficacité.
 
Nos instances ne vous protègent pas, elles protègent leur autorité.
 
Il s’agit d’un mécanisme de survie. Sans autorité, elles disparaissent d’elles-mêmes.
 
Et ils oublient qu’à la fin, le Titanic coule.
 
Je ne dis pas que ces gens cherchent à mal faire, simplement que cela passe après la préservation de leur autorité, sinon ils auraient démissionné.
 
C’est également pour cela qu’il a fallu faire taire Didier Raoult (lui a démissionné  du Conseil d’ailleurs, le seul).
 
On lit beaucoup que le traitement à la chloroquine a été ignoré parce que pas assez lucratif : pas de brevet, pas de prix Noble à la clé, pas de sauveur providentiel, simplement un antipaludique déjà pris par un milliard de personnes dans le monde. C’est sans doute vrai en partie, mais à mon avis, ce n’est pas le problème principal.
 
Le crime de Didier Raoult et de la chloroquine
 
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
 
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ». 
 
J’ai écrit un article complet sur La vérité s’efface devant le conformisme
 
Cet article est le premier que vos recevrez, IMMÉDIATEMENT en vous inscrivant à L’investisseur sans Costume. Ce service est entièrement GRATUIT, il vous suffit d’inscrire votre adresse email ci-dessous et de cliquer sur Je m’inscris (cela marche aussi si vous êtes déjà inscrit mais souhaitez recevoir l’article) :
 

 
Je vous garantis la confidentialité complète de vos données personnelles. Elles ne seront jamais ni échangées avec des organismes tiers ni commercialisées à votre insu.
 
L’Investisseur sans costume est un service proposé par Pando Éditions, maison d’édition indépendante spécialisée dans l’économie et la finance, que je dirige.
 
À votre bonne fortune,
 
Guy de La Fortelle

Partager l'article