MISE À JOUR IMPORTANTE DU VENDREDI 10 SEPTEMBRE:
MERCI POUR VOTRE MOBILISATION ! PASTEUR A REMIS EN LIGNE LA VERSION DU 28 JUIN, CE VENDREDI 10 SEPTEMBRE SUR LE SITE DE PRÉPUBLICATION HAL… PEUT-ÊTRE BIEN SOUS LA PRESSION. NOUS ATTENDONS TOUJOURS LA REVUE PAR LES PAIRS ET LA PUBLICATION DANS UNE REVUE SCIENTIFIQUE SÉRIEUSE.
MISE À JOUR DU MARDI 7 SEPTEMBRE
Pasteur rétracte son étude bidon qui justifiait le pass sanitaire… Mais persévère !
Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
Hier, Pasteur a fait deux choses :
- Ils ont rétracté la prépublication, mascarade d’étude, qui avait servi à justifier le pass sanitaire.
Et
- Ils ont prépublié sa mise à jour toujours aussi bidon… Et même pire encore : Ils ont persisté dans leurs fautes.
Ils sont en train de nous refaire le coup de la falsification du Lancet qui avait justifié l’interdiction de l’hydroxychloroquine… Et si l’étude avait été rétractée au bout de quelques jours, l’interdiction, elle, était bien restée.
Ils font mieux encore, sous couvert de mettre à jour leur étude, ils rétractent la version précédente et peuvent ainsi falsifier la science sans jamais passer par les Fourches Caudines de la validation par leurs pairs.
Publier une mise à jour d’une étude rétractée sans même justifier des raisons de leur rétractation est une falsification suffisante pour discréditer les chercheurs et l’Institut Pasteur tout entier : On ne construit pas du vrai sur du faux.
Mais la nouvelle étude ne corrige même pas les fautes commises dans sa version précédente.
Tout d’abord, nous sommes toujours sur une modélisation dont le résultat dépend, non-pas d’observations objectives, mais de paramètres choisis de manière contestable et contestée.
Nous avions étudié (ci-dessous) comment l’étude arrivait à supposer une transmission 12 fois moindre des personnes vaccinées en utilisant des paramètres obsolètes et biaisés.
Les chercheurs ont apporté une correction cosmétique et les mêmes biais ont été conservés.
Il ne faut donc pas nous étonner que les conclusions de leur étude soient toujours aussi apocalyptiques malgré le démenti de l’été, partout dans le monde, pas uniquement dans ces pays si chanceux d’avoir un pass sanitaire.
Ils ont beau avoir eu tout faux… Et rétracté leur étude, ils persistent dans leurs fautes.
Cette fois est-ce plus grave encore car cette nouvelle étude justifie l’injustifiable.
Je ne parle pas de la prolongation du pass sanitaire, ni de la 3e dose auxquels appelle Pasteur mais de la vaccination des enfants.
Avec leurs gros souliers, les chercheurs s’inquiètent que les moins de 20 ans qui représentent 20 % de la population seraient responsables de 33 % des contaminations.
Ils justifient en cela la grande campagne de vaccination de rentrée des ados mais également celle des enfants de moins de 12 ans.
Pfizer a commencé cet été une étude sur 4 500 enfants de 6 mois à 12 ans pour faire approuver le vaccin… Encore faudrait-il qu’ils aient suffisamment de cas symptomatiques pour pouvoir conclure, avec un taux de positivité de 5 % sur les tests spontanés des moins de 19 ans (faute de mieux) et un taux d’hospitalisation de 0,5 % (avec une moyenne d’hospitalisation de 2 à 3 jours) selon les données de la DREES, il faudrait une cohorte 100 fois plus importante pour espérer arriver à des résultats significatifs… Là encore, il faut nous attendre à une mascarade de science.
Non seulement, le vaccin n’a aucun intérêt sur la protection des enfants de moins de 12 ans mais il n’en a pas davantage sur la protection de la population tout entière.
Mais jouer avec les enfants et les femmes enceintes c’est jouer avec la survie de l’espèce.
Et c’est pour cela qu’il est urgent de continuer de démentir l’argument fallacieux de la transmission : Il n’existe aucune preuve scientifique qui permette de démontrer que le vaccin réduit la circulation du virus de manière significative :
- Au contraire, les vaccinés infectés ont des charges virales supérieures aux non-vaccinés ;
- Le risque d’infection chez les populations vaccinées est calculé sur les cohortes de soignants qui ne sont plus statistiquement significatives et sont composées de femmes à plus de 80 % et dans la totalité d’actifs en bonne santé (suffisamment pour travailler en tout cas)…
- À l’inverse, la vaccination systématique pourrait au contraire favoriser la circulation du virus chez les plus fragiles en freinant l’immunité naturelle chez les plus robuste : Les populations rétablies ont une immunité 13 fois meilleure que les vaccinés.
Honte à Pasteur !
Honte aux politiques qui continueraient de se conformer et se cacher derrière cette mascarade d’étude, jamais publiée mais de nombreuses fois démenties, et par bien d’autres que moi.
À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle
L’étude bidon à l’origine du pass sanitaire
Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
Voici comment l’on arrive à des idées fausses à partir de chiffres vrais :
Nous allons voir comment une succession d’études, de chiffres, mesures, calculs, communiqués, tweets et articles sans jamais procéder à une falsification évidente aboutit à un résultat FAUX.
Il y a quelques années déjà, Bruno Bertez, ancien patron de presse, m’avait expliqué qu’il n’était nul besoin de falsifier les faits, nul besoin de fake news, pour produire des idées fausses, pour en produire même un journal entier. Il m’a fallu du temps pour comprendre réellement ce qu’il voulait dire et saisir la piste qu’il m’indiquait. Finalement, rien ne vaut un bon exemple.
Je vous rappelle que je suis au début d’une série de lettres et vidéos sur la démarche scientifique et la nouvelle dictature du chiffre, si ce n’est déjà fait, inscrivez-vous GRATUITEMENT à l’Investisseur sans costume ICI pour la recevoir.
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Nous allons nous intéresser aujourd’hui à l’étude qui a justifié la mise en place du Pass sanitaire et comment l’outil de vérité qu’est la démarche scientifique a été souillé et détourné en un outil de propagande et de contrôle social.
Le pass sanitaire : Un coup de bazooka dans le pied
En effet, dans l’étude d’impact et l’avis du conseil d’État sur la loi qui a instauré le pass sanitaire, nous pouvions lire que le pass était nécessaire pour empêcher une vague aussi grave que celle de mars 2020 [1] :
Aujourd’hui, il apparaît manifeste selon les données gouvernementales d’occupation des lits de réanimation que le pic de mars 2020 n’a pas été reproduit et que le pass sanitaire n’a rien changé à la forme de la cloche naturelle de l’émergence de chaque nouveau variant :
Mais alors que s’est-il passé ? Pasteur et l’INSERM se sont-ils trompés à ce point malgré les enjeux ? Avons-nous simplement eu beaucoup de chance ?
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
J’ai écrit un article complet sur L’étude bidon à l’origine du pass sanitaire
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À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle