Ma chère lectrice, mon cher lecteur,
Cela tourne au scandale. Ils nous refont bien le coup du Lancet.
L’annonce de Pfizer sur son vaccin miracle qui me semblait fort suspecte est désormais rien moins que fantaisiste… restons polis.
Nous apprenons aujourd’hui que, sur la fois des bellles promesses de Pfizer, l’Union Européenne vient de commander 300 millions de doses du vaccin et que dans le même temps, Robert Bourla, PDG de Pfizer, vendait 130 000 actions pour 5 millions de dollars.
L’UE qui ne sait rien achète à milliards et le PDG qui sait tout, lui, vend à millions.
Cela ne va pas.
Dans ma vidéo d’hier, je craignais qu’ils nous refassent le coup du Lancet à prendre des décisions radicales sur la base de fake news avérées… Cette crainte prend forme aujourd’hui.
Nous ne savons toujours rien de ce vaccin :
- Est-il seulement efficace pour les cas sévères ;
- Permet-il de limiter la propgation du virus ;
- Permet-il une immunité au-delà de 2 mois ;
- Arriverons-nous à le distribuer alors qu’il doit être conservé à -70° ?
Mais nous avons acheté 300 millions de doses, livrables avant la fin de l’année qui plus est.
Et pendant que Robert Bourla s’extasiait d’un grand jour pour l’humanité et de la plus grande découverte médicale depuis 100 ans, il vendait ses actions par derrière. avec lui, c’est faites ce que je dis, pas ce que je fais.
C’est tout simplement obscène mais une fois qu’ils l’auront acheté à milliards, cela ne les empêchera pas de vouloir nous inoculer ce vaccin de gré ou de force.
Non, ce n’est vraiment pas la crise sanitaire qui alimente la crise financière mais tout l’inverse, c’est la crise financière qui alimente la crise sanitaire, ce sont les gros sous avant notre petite santé.
Je vous disais hier que lundi était un grand jour pour les grands actionnaires et prédateurs financiers. Je ne croyais pas si bien dire. Robert Bourla, PDG de Pfizer, est l’un d’entre eux et l’UE est en train de mettre notre santé entre ses mains.
Pour moi, vous le savez, je retire mes billes et ce sera resistance passive et désobeissance civile.
Faites suivre.
À bon entendeur,
Guy de La Fortelle
Sources :