Mon cher lecteur,
NON, il n’y a pas d’affaires à faire en bourse.
Niet, zéro, nada : mettez-vous bien cela en tête.
Et pourtant…
La question mérite d’être posée sérieusement, notamment parce que l’idée de ramasser les morceaux à vil prix, ou tout du moins de s’y préparer, commence à courir, et pas uniquement chez des ministres incompétents.
Vous connaissez la première règle de l’investissement : acheter bas, vendre haut.
Cela à l’air aussi évident que 2 et 2 font 4 mais en pratique, c’est souvent l’inverse qui se passe. Nous avons l’habitude d’ignorer les signaux de croissance avant de nous ruer, trop tard, sur des investissements déjà surévalués.
Il faut dire qu’à ce jeu-là, le gouvernement est de bien mauvais conseil, lui qui fait tout pour « flécher » notre épargne en bourse depuis plus de 2 ans…
Le problème de cette règle est encore de savoir quand un actif est sous-évalué et quand il est surévalué.
Et maintenant ou en sommes-nous ?
Commençons par le CAC40.
Le graphique ci-dessous vous montre en bleu le cours du CAC40 et en rouge j’ai tracé en rouge la moyenne de la croissance française sur la même période :
Graphique : CAC40 comparé à la moyenne de long terme de crossance du PIB depuis les années 1990.
Nous nous rendons compte à la lecture de ce graphique qu’en 2003 et 2009 et 2012, à l’occasion des crises Internet, des subprimes et des dettes souveraines, le CAC40 est retombé au niveau de la croissance du PIB avant de rebondir.
Or nous voyons avec la crise du coronavirus que l’indice se rapproche de son plancher historique du PIB.
Faut-il nous préparer à nous positionner sur le CAC ?
Surtout PAS.
Je m’appelle Guy de La Fortelle et je rédige le service d’information GRATUIT et INDÉPENDANT : L’Investisseur sans Costume.
À partir d’aujourd’hui, je vais vous dire tous les secrets de l’économie et de la finance que les médias grands publics « oublient ».
J’ai écrit un article complet sur Y a-t-il des affaires à faire en bourse ?
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À votre bonne fortune,
Guy de La Fortelle